- La majorité (55%) des Mauritaniens disent avoir eu recours aux soins de santé dans un hôpital public au cours des 12 derniers mois. Le tiers déclarent avoir demandé un document d’identité (34%) ou un service dans une école publique (33%), et 13% avoir sollicité l’assistance de la police (Figure 1).
- Seulement la moitié (51%) des répondants déclarent que leur ménage est raccordé au réseau public d’électricité (Figure 4).
- Aux yeux des citoyens, les plus importants problèmes auxquels le gouvernement devrait s’attaquer sont l’éducation (cité par 42% des répondants), la santé (42%) et la pauvreté (40%) (Figure 5).
La majorité des Mauritaniens qui ont eu recours au service de la police ou à un service éducatif public au cours des 12 derniers mois disent qu’il était facile d’avoir ce dont ils avaient besoin, contrairement à ceux qui ont tenté d’obtenir un document d’identité, selon les résultats de l’enquête Afrobarometer.
Beaucoup de répondants qui ont fait l’expérience de ces services publics disent avoir dû verser des pots-de-vin.
Quant à l’accès à l’électricité, seulement la moitié des Mauritaniens affirment qu’ils sont raccordés au réseau public d’électricité.
Aux yeux des citoyens, l’éducation et la santé sont les deux plus importants problèmes auxquels le gouvernement devrait s’attaquer, suivies par la pauvreté.