- La grande majorité (85%) des Nigériens affirment qu’il est « parfois justifié » ou « toujours justifié » que les parents utilisent la force physique pour discipliner leurs enfants (Figure 1).
- Plus de la moitié (51%) des répondants disent que l’usage de la force physique sur les enfants est « assez fréquent » ou « très fréquent » dans leur communauté (Figure 2).
- La majorité des Nigériens affirment qu’il est « assez fréquent » ou « très fréquent » que les enfants en âge d’être à l’école n’y soient pas (58%), mais qu’il n’est « pas très fréquent » ou « pas du tout fréquent » que les enfants de leur communauté soient victimes de violence, maltraités ou négligés (54%) (Figure 3).
- La moitié environ des répondants sont d’accord pour dire qu’il existe des sources d’aide ou de soutien aux enfants abusés, maltraités ou négligés (54%), aux enfants ayant un handicap physique (52%), ainsi qu’aux enfants ou adultes ayant des troubles mentaux ou émotionnels (49%) (Figure 4).
Selon les résultats de la plus récente enquête d’Afrobarometer, la majorité des Nigériens justifient l’usage de la force physique pour discipliner les enfants, et plus de la moitié d’entre eux estiment que cette pratique est courante dans leur communauté.
La majorité des répondants pensent que les cas d’enfants non-scolarisés sont fréquents, mais que les enfants victimes de violence, maltraités ou négligés sont moins prévalents.
Globalement, la moitié environ des répondants affirment qu’il y a des sources d’aide et du soutien pour les enfants vulnérables de leur communauté, et approuvent les efforts du gouvernement dans la protection des droits et du bien-être des enfants vulnérables.
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