Résumé
- Presque la moitié (48%) des Burkinabé disent que le niveau de corruption dans le pays a diminué pendant l’année passée, contre 28% qui disent qu’il a augmenté.
- La moitié des Burkinabé (50%) qualifie de mauvaise la manière dont le gouvernement répond aux préoccupations en matière de lutte contre la corruption au sein de l’administration publique. Toutefois la proportion des citoyens qui saluent cette performance a plus que doublé entre 2012 et 2015.
- Les Burkinabé ont des grandes difficultés à accéder aux services publics, surtout en milieu urbain. Bien qu’ils pensent pouvoir faire la différence dans la lutte contre la corruption, la grande majorité des Burkinabé ne dénoncent pas les actes de corruption, surtout par peur des conséquences.
- La dénonciation des actes de corruption et les investigations des médias sont cruciaux dans la lutte contre la corruption.
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