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AD370: Em Moçambique, fortes diferenças regionais marcam o medo da violência extremista e eleitoral
Embora a guerra civil de Moçambique tenha terminado em 1992, a violência voltou a explodir em 2013, quando o partido da oposição, RENAMO, renovou sua insurgência contra o governo da FRELIMO.
AD370: In Mozambique, strong regional differences mark fear of extremist and election violence
Although Mozambique’s civil war ended in 1992, violence flared again in 2013 when the opposition RENAMO party renewed its insurgency against the FRELIMO government. Both sides stand accused of war crimes in a conflict whose death toll analysts estimate at near 1 million (France24, 2019). A peace agreed in August 2019 remains tentative as a small number of RENAMO rebels have vowed not to lay down their weapons (Mail & Guardian, 2019).
AD154: Crime and insecurity remain near the top of South Africans’ agenda
Though an economic magnet, South Africa is still grappling with serious problems of crime and violence.
Violent extremism from a ‘grassroots’ perspective: Evidence from North Africa, Lake Chad, Sahel, and the Horn
Two new reports from Afrobarometer explore citizens’ perceptions of violent extremism and counter-extremism efforts in “hotspot” regions of Africa.
L’extrémisme violent en Afrique: Perceptions des populations d’Afrique du Nord, du Lac Tchad, du Sahel, et de la Corne
Deux nouveaux rapports d'Afrobaromètre se penchent sur ce que pensent les citoyens de l'extrémisme violent et des efforts anti-extrémisme dans des régions sensibles de l'Afrique.
PP32: Extrémisme violent en Afrique: Perceptions des citoyens du Sahel, du Lac Tchad, de la Corne
Au cours des deux dernières décennies, la menace que constituent les groupes extrémistes violents qui embrassent des discours religieux fondamentalistes s'est considérablement développée à travers l'Afrique (Hallowanger, 2014). L'ère coloniale et les régimes non-démocratiques qui ont caractérisé beaucoup de gouvernements postindépendance ont produit des mouvements anti-Occident et djihadistes à travers le Moyen-Orient et plus généralement le monde islamique (Moore, 2016). Ces mouvements préconisent l'avènement d'un régime religieux conservateur pour résoudre les anomalies sociales des sociétés modernes. Déjà dans les années ’90, ces idéologies avaient commencé à s'étendre en Afrique, où les frontières poreuses, les systèmes de sécurité défaillants, les systèmes de gouvernance faibles, la corruption, les clivages ethniques, et les niveaux élevés de chômage des jeunes ont créé des environnements favorables au développement des groupes extrémistes (Institute for Economics & Peace, 2014).
AD100: La menace de l’extrémisme violent: Perceptions des populations d’Afrique du Nord
En juin 2015, les militants de l'Etat Islamique (EI) autoproclamé ont attaqué un hôtel sur la plage à Sousse en Tunisie, tuant 38 personnes (CNN, 2015a). Quatre mois plus tard, l’EI a revendiqué l’abattage d'un avion de ligne russe, avec 224 morts, même si la cause officielle demeure indéterminée (CNN, 2015b). De même, Al Qaeda au Maghreb Islamique (AQMI) a tué 18 personnes sur les plages de Grand-Bassam en Côte d'Ivoire en mars 2016 et a attaqué quelques jours plus tard une installation d’hydrocarbures et de gaz au Sud de l’Algérie (Al Jazeera, 2016).
AD99: Les Nigériens approuvent l’efficacité de la réponse gouvernementale à l’extrémisme
Au Niger, la situation sécuritaire ces deux dernières années est prise en tenailles par le groupe djihadiste et terroriste Boko Haram installé à ses frontières. A plus de la moitié, les Nigériens se sentent exposés au risque des actions terroristes. En effet, selon le plus récent sondage d’Afrobaromètre, 59% des citoyens justifient l’exposition à une telle menace par la faible présence de l’état dans certaines parties du territoire.
AD100: Threat of violent extremism from a ‘grassroots’ perspective: Evidence from North Africa
In June 2015, militants from the self-proclaimed Islamic State of Iraq and the Levant (ISIL) raided a beach hotel in Sousse, Tunisia, killing 38 people (CNN, 2015a). Four months later, ISIL claimed responsibility for the downing of a Russian airliner, with 224 fatalities, although the official cause remains undetermined (CNN, 2015b). Similarly, Al Qaeda in the Islamic Maghreb (AQIM) killed 18 people on the beaches of Grand Bassam in Côte d'Ivoire in March 2016, and days later attacked an oil and gas facility in southern Algeria (Al Jazeera, 2016).
PP32: Violent extremism in Africa: Public opinion from the Sahel, Lake Chad, and the Horn
Over the past two decades, the threat posed by violent extremist groups that espouse fundamentalist religious narratives has grown substantially across Africa (Hallowanger, 2014). The colonial era and the undemocratic rule that characterized many post-independence governments generated anti-Western and jihadist movements across the Middle East and the wider Islamic world (Moore, 2016). These movements advocate conservative religious rule as a cure for modern societies’ social ills. By the 1990s, these ideologies had begun to spread to Africa, where porous borders, poor security apparatuses, weak governance, corruption, ethnic divisions, and high youth unemployment created conditions under which violent extremist groups thrived (Institute for Economics & Peace, 2014).