- L’identité nationale est fortement ancrée parmi les Burkinabè : Seulement 11% mettent plus l’accent sur leur identité ethnique (Figure 1)
- De fortes majorités de Burkinabè disent ressentir de liens forts avec les autres concitoyens (85%) et que les autres citoyens les considèrent comme un Burkinabè tout comme eux (90%) (Figure 2).
- La majorité (74%) des Burkinabè disent que les membre de leur groupe ethnique ne sont jamais injustement traité par le gouvernement à cause de leur ethnie. Toutefois, plus du quart (27%) affirment que la discrimination sur la base de leur ethnie se produit « quelques fois », « souvent » ou « toujours » (Figure 3).
- Les Burkinabè font « partiellement » ou « beaucoup » confiance à la plupart des catégories de personnes (Figure 4).
- L’écrasante majorité (95%) des Burkinabè aimeraient ou seraient indifférents à l’union avec une personne d’une autre ethnie (Figure 5).
- De même, la majorité des citoyens aimeraient avoir pour voisinage les gens d’autres ethnies (82%) ou d’autres religions (81%), les immigrants (76%), les supporteurs d’autres partis politiques (73%), mais pas les homosexuels (88%) (Figure 6).
Les Burkinabè ont un fort attachement à leur identité nationale plutôt qu’à leur appartenance ethnique et ressentent de forts liens avec les autres concitoyens, selon les résultats de la plus récente enquête Afrobarometer.
La majorité des citoyens disent que les membres de leur groupe ethnique ne sont jamais injustement traités par le gouvernement à cause de leur ethnie, bien que beaucoup disent que ce genre de discrimination se produit régulièrement.
La confiance interpersonnelle est fortement répandue parmi les Burkinabè, qui aimeraient ou seraient indifférents à l’union avec un partenaire d’une autre ethnie.
La majorité des enquêtés apprécieraient l’idée d’avoir comme voisins des personnes de religion ou d’ethnie différente, des immigrés ou travailleurs étrangers ou des supporters d’unautre parti politique. En revanche, avoir des homosexuels comme voisins semblent les rebuter.
