- Quatre Tunisiens sur 10 (41%) déclarent que les femmes sont « souvent » ou « toujours » sexuellement harcelées dans les espaces publics, et 16% disent que les filles subissent « souvent » ou « toujours » des discriminations, du harcèlement ou des avances sexuelles de la part de leurs enseignants (Figure 1). La majorité des répondants estiment que ces actions se produisent rarement voire jamais.
- Deux tiers (66%) des Tunisiens pensent que la police et les tribunaux doivent faire « beaucoup plus » d’efforts dans la protection des femmes et des jeunes filles du harcèlement (Figure 2).
- La grande majorité (83%) des répondants estiment qu'il est « assez probable » ou « très probable » que les gens croient les femmes ou les filles qui se plaignent d'être victimes de discrimination ou de harcèlement (Figure 3).
Selon la plus récente enquête d’Afrobarometer en Tunisie, des proportions significatives de citoyens tunisiens pensent que la discrimination et le harcèlement sexuel des femmes et des filles dans les espaces publics et en milieu scolaire sont courants dans leur pays.
Une forte majorité de répondants disent qu’il est probable que les femmes ou les filles qui se plaignent d’être victimes de ces pratiques soient prises au sérieux dans leur communauté.
Enfin, deux tiers des répondants estiment que la police et les tribunaux doivent faire « beaucoup plus » d’efforts pour protéger les femmes et les filles du harcèlement.
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